Ça ne peut pas faire de mal
Je dis ce que je vois, hein… J’ai trois papiers à livrer pour ce nouveau blog, je suis drôlement en retard et voilà, je bouscule un ordre bien établi. Au diable, mes articles : ils attendront.
En entrant dans le train de banlieue en charge de m’amener sur Paname, j’avise le graffiti sur la fenêtre jouxtant mon siège. Peu importe de savoir qui l’a écrit. Quelqu’un qui ne peut faire sa vie sans Mathias.
Ça me touche toujours autant, ces déclarations sauvages.
I love you. All of you. And L.